dimanche 30 septembre 2012

Kristen Stewart : Interview pour Style.Com réalisé lors de la Fashion Week.

                 



 En un bon jour, un premier rang avec Salma Hayek est quelque chose à notifier. Mais pas quand Kristen Stewart est assise devant le podium. Dans le sillage d’un scandale qui a dominé les pages des magazines-torchons à potins ces derniers mois, l’actrice était à Paris ce matin, les paparazzis être damnés, pour supporter la collection Printemps 2012 de Nicolas Ghesquière pour Balenciaga. Stewart, qui est arrivée au défilé portant une veste de motard jaune pâle et des jeans à imprimés, présente Ghesquière comme son 'âme sœur', ce qui a probablement rendu la collaboration pour le parfum de Balenciaga Florabotanica une telle réussite. Inspiré par les imprimés floraux surréalistes de sa collection Automne 2011, Ghesquière a été dans la dualité quand il a conçu la nouvelle offre beauté de la marque, surtout le côté sombre des jolies fleurs conventionnelles qui sont facilement considérées comme inoffensives. 'Les fleurs peuvent être carnivores ou venimeuse – contenir du poison', fait-il remarquer, et c’est ce ‘mystère’ qu’il a espéré mettre en bouteille.
Si le conte de fées complexe s’est conçu autour du vétiver, ambre, œillet, menthe et ‘rose expérimentale’, les essences florales utilisées ici ont été distillé à partir de plantes à pétales qui poussaient à partir de bouts de papiers déchirés contenant les dessins d’un styliste reclu, qui ont été ancré dans une terre hostile avant d’être trouvés par une fille qui avait ‘l’inspiration d’une muse’. Dans la version vie réelle, bien sûr le styliste [Ghesquière]a rencontré la muse [Stewart] sur un plateau après que, à l’époque âgée de 12 ans, la star a joué dans le film de David Fincher Panic Room'Je ne l’avais pas oubliée' , a dit Ghesquière de Stewart, qui bénéficie d’une beauté ‘pure et incontrôlable’ dans son estime – ou entre d’autres termes très Balenciaga. Ici, tout droit sortie d’un tour de presse pour son nouveau film Sur la Route et un mois avant la frénésie médiatique qui marquera la fin de la saga Twilight, Stewart a rencontré Style.com pour parler du parfum, de l’intimidation qu’est le premier rang et pourquoi la collection Printemps de Ghesquière est sa préférée pour l’instant.
 - Par Celia Ellenberg

Style.com : Jusqu'à maintenant, la seule égérie du parfum de Balenciaga était Charlotte Gainsbourg. Qu'est-ce que cela vous fait d'être dans ce genre d'entreprise ?
Kristen Stewart : Je voudrais pouvoir choisir un meilleur mot, mais je pense qu'elle est superbe. Je me suis assise à côté d'elle au défilé [de la saison dernière] – qui fut la première expérience que j'ai eu chez Balenciaga – et j'étais si ridiculement intimidée par elle ! Je n'ai même pas dit salut. J'étais juste en quelque sorte mise en sourdine par elle. C'est une relation étrange que nous les acteurs sommes autorisés à avoir avec la mode. Pour moi, cela a commencé à un âge extraordinairement jeune. J'ai rencontré Nicolas [Ghesquière] quand j'avais 12 ans [sur] ce petit projet qui ressemblait fortement à une séance photo. Un portant de vêtements arrive et vous pouvez simplement choisir ci provient de cette marque. [Balenciaga] était la première marque de mode que j'ai reconnu.

Avez-vous été attirée par les vêtements alors ?
Je n'ai jamais rien fait avec tact. Je voulais juste être aux côtés de Nicolas. C'est comme dans les films. Vous trouvez des âmes sœurs. Vous dites, 'Nous avons besoin de faire quelque chose ensemble'. Ma vision créative n'est pas des vêtements, mais … je veux en faire partie.


Nicolas a dit que votre 'féminité rebelle' est ce qui fait de vous une bonne candidate pour Florabotanica. Cette caractéristique semble voir avoir suivi énormément récemment, en particulier dans votre travail. Pensez-vous qu'il s'agit d'une évaluation assez véridique du personnage ?

Tout particulièrement maintenant – peut être est-ce mon âge – soit vous avez l'audace du cœur ou l'absence de la peur qui peut différer des autres personnes, soit vous ne l'avez pas. Un vrai rebelle, quelqu'un qui est réellement, authentiquement rebelle, n'a aucune idée de ce qu'ils font. C'est tout à fait naturel. Si vous avez conscience de ça, alors vous êtes une personne artificielle, fausse. Avoir Blanche Neige [et le Chasseur] et Sur La Route – même Balenciaga – tout le monde dit : 'Vous prenez ces rôles forts', et tout le monde me demande si j'essaie de transmettre ces rôles féminins forts. Et objectivement, oui, j'essaie. Mais il y a également un vide en ce moment et les gens veulent le combler.

Vous avez porté beaucoup de Balenciaga depuis que vous avez officiellement rejoint la maison. Avez-vous eu des moments de mode préférés avec cette ligne ?
[Nicolas] a fait ma robe de Cannes. Et je suis allée au Gala du MET avec lui. Et nous nous sommes assis ensemble et je l'ai regardé dessiner cette … chose. Je pense qu'il dirait que j'ai quelque chose à voir avec ça, mais ce sont des conneries. J'étais juste assise là. J'aime ces motifs sur les pulls [de la collection Automne 2012]. Et les longues robes légères – et les chaussures ! J'aime tellement toutes les chaussures. Je dois dire que j'ai vu la nouvelle collection [Printemps] – et c'est incroyablement cool. Vous devez bien vous connaître pour la porter, ou elle vous porte. C'est totalement logique que ça se passe maintenant, malgré tout. Je ne veux pas que cela paraisse arrogant, mais elle a été faite pour moi.
En parlant d'habillement de tapis rouge, comment allez-vous choisir vos tenues pour ce qui a été une conférence de presse non stop pour vous et qui se poursuivra lors des avants-premières du dernier volet deTwilight en novembre ?
Beaucoup d'actrices disent que vous pouvez jouer des rôles différents sur le tapis rouge, mais je ne peux pas prétendre que je peux devenir quelqu'un que je ne suis pas. Tara Swennen est ma styliste. J'ai travaillé avec la même personne toute ma vie. Je peux vraiment débloquer des qualités et quelque chose de très inattendu fait surface – et c'est amusant, mais vous savez instantanément si [une robe] convient ou ne convient pas. Vous n'avez même pas besoin de remonter la fermeture-éclair. Il est important d'y faire confiance.

Trouvez-vous que porter du parfum – ce parfum, particulièrement – est une expérience tout aussi transformatrice ?
[Le parfum] est quelque chose dans laquelle je viens juste d'entrer, voulant sentir bon. J'ai 22 ans. Je n'étais pas la jeune fille de 15 ou 16 ans mettant du parfum. C'est une chose marrante qui en le faisant vous donne tout à coup 'quelque chose' . Cela vous met à un autre niveau. Il y a de la sophistication à ça. J'ai un peu le sentiment … hello ! Et il sent vraiment bon. C'est du sexe. C'est vibrant. Et dieu merci j'ai aimé [Florabotanica] lorsque je l'ai senti ; je suis pas une bonne menteuse.

Vous êtes connue dans les milieux de la beauté pour votre peau incroyablement pâle. Comment avez-vous conservé votre teint parfaitement albâtre au cours des cinq films Twilight ?
Je suis vraiment blanche. Bien que pour mon prochain projet, je ne suis pas sûre, mais je vais être blonde et vraiment bronzée ! Je [la] garde propre et hydratée. J'ai la peau grasse donc j'utilise Proactiv. C'est un bon truc que mon visage soit … actif. Skinceuticals est vraiment super, lui aussi. Je viens de découvrir leurs sérums.

Sur le plateau, à quel point trouvez-vous que le maquillage, la coiffure, les costumes vous permettent de rentrer dans le personnage ? Avez-vous eu des expériences de beauté vraiment transcendantes, comme lorsque vous portiez cette coiffure noire de Joan Jett dans The Runaways ?
Oh ouais. Si je n'avais pas eu ça, il n'y aurait rien eu qui m'aurait fait me sentir légitime [dans The Runaways]. Je portais des autocollants sur mon visage, j'ai élargi mon nez avec des contours, j'ai minimalisé mes sourcils – j'avais une super maquilleuse, Robin Matthews. Sur Blanche Neige, j'ai travaillé avec [la costumière] Colleen Atwood – il n'y a personne comme elle. Ses vêtements ont tant apporté. Nous avons fait un film fantastique médiéval mais rien n'était faux – il n'y avait pas de Velcro ! J'ai besoin de ça. C'est la même chose sur le tapis rouge ; si vous ne vous sentez pas bien, vous ne pouvez pas le vendre.

Soyez honnête : êtes-vous heureuse ou un peu triste de laisser vos jours Twilight derrière vous ?
Aussi triste que cela soit de quitter quelque chose, la raison pour laquelle vous démarrez ce projet est que tu peux le finir. Je m'y tiens proche, comme je le fais avec tous mes projets. Je pourrais me faire interview à propos Panic Roommaintenant. Je ressens la même chose avec Twilight. J'ai réussi à vivre dans ce monde pendant quatre ans et ce fut l'expérience la plus indulgente que j'ai jamais eu. La somme d'allègement que ce soit fait est incroyable – et c'est même triste en quelque sorte.

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