mercredi 5 décembre 2012

Kristen Stewart : Couverture de Marie Claire Australie - Janvier 2013.

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'Heureusement, on ne m'a jamais dit que j'avais besoin d'un Prince Charmant ou rien de plus que j'avais déjà en moi', a t-elle dit. 'On doit trouver son propre chemin dans la vie. Je ne suis pas dans ce truc de sauvetage'.

'Je m'ennuie un peu maintenant', confesse t-elle [en parlant de 'ce qui venir']. 'Je veux travailler sur quelque chose et ce sera peut-être pas un travail d'actrice. Je traîne avec mes chiens et ma famille et, pour être honnête avec vous, je suis toujours en train de rattraper du sommeil. J'ai carrément travaillé pendant 2 bonnes années depuis Eclipse. Mais je me tâte maintenant. Je veux faire quelque chose'.

Son premier coup dans la redéfinition de sa carrière est venu en septembre [la date de sortie en Australie], avec son coup d'éclat dans l'adaptation sur grand écran de Sur La Route de Jack Kerouac.

Se rappelant qu'elle n'a plus besoin de travailler pour le reste de sa vie, elle sourit et dit : 'Ouais, je sais. Je suis dans une position folle où je ferais mon travail gratuitement et c'est quelque chose que beaucoup de gens disent, mais en fait je le pense vraiment. Mais on doit en avoir besoin, ou bien ce n'est pas la peine'.

Cette éthique de travail peut être largement attribuée à son éducation. Élevée par des parents dans le métier, elle a fait ses devoirs sur les plateaux d'émissions de télévision de ses parents, où son père John Stewart a travaillé comme régisseur et sa mère, Jules Mann-Stewart – originaire de Maroochydore, dans le Queens – en tant que scénariste.

'Mes parents sont vraiment des bosseurs. Ils font des films. Je les ai vraiment observés à cause de ça, et j'ai toujours voulu faire des films et faire partie de ça. Je ne sais pas ce que je ferais si je n'étais pas une actrice'.

'Pendant ma croissance, mes parents n'étaient pas très stricts. Ils m'ont laissé être celle que je voulais être. Ce n'est pas comme si ma mère s'était assise et m'avait dit, 'Tu dois être toi-même, Kristen' ou 'Ne prend pas de saloperie, Kristen', même si elle me l'a dit à quelques reprises', se souvient-elle en riant.

'Je pensais que j'étais une adulte lorsque j'avais genre 12 ans. Je ne sais pas pourquoi. Je n'ai jamais fait preuve de complaisance. Je n'ai pas été élevé comme ça. Je suis la plus jeune dans ma famille et j'ai toujours eu le sentiment que je devais prendre soin de mes frères. J'ai toujours été une anxieuse. Je n'ai jamais été cette gamine qui se fout de tout, même quand j'étais à l'école maternelle'.

Stewart admet qu'elle a eu du mal avec l'attention que la célébrité a amené.

'Je suis particulièrement bizarre car je n'aime pas être scrutée', a t-elle révélé. 'Beaucoup d'acteurs aiment ça et ils aiment sortir et font carrément ça comme une activité. Je déteste ça'.

Elle passe peu de temps devant le miroir, laissant à une équipe de six personnes la préparation de ses apparitions publiques.'Je n'apprécie pas particulièrement le processus, pour être honnête. J'ai beaucoup d'amis acteurs qui aiment se préparer pour quelque chose juste parce qu'ils se sentent assez important. Je ne m'identifie pas à ça. Mais en étant dans l’œil du public, on m'attend à mon avantage et je le comprends'.

Cette année, Stewart a signé pour être la nouveau visage du nouveau parfum féminin Balenciaga, Florabotanica. D'un certain sens, elle ne réfléchit pas avant d'agir, son côté sombre et rebelle s'accorde bien avec son vrai sens de la mode'.

''C'était une de ces choses qui me semblait parfaite. Je suis une grande fan de l'univers de la mode maintenant que je suis autorisée à en faire partie, même si parfois, je ne sais même pas ce que je porte', dit-elle en montrant son choix actuel de jean et un tee-shirt usé. 'Mais à chaque fois que je mets du Balenciaga, je me dis 'Oh, ça ressemble à Balenciaga !' On le peut le voir, on peut le distinguer sur un portant'.


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